Fiston qui adore les mangas et BD a découvert il y a peu à la bibliothèque les volumes 1 et 2 de « Sushi Bing » des éditions Tourbillon. Dans ces derniers, la fin du monde a eu lieu, des zombies se sont emparés la ville et quelques personnes ont survécu à l’invasion. Parmi ces dernières, une famille qui tient le dernier restaurant encore ouvert sur Terre : le Sushi Bing. Nous suivrons donc les aventures hors du commun de Madame Yamada (la grand-mère, patronne très âgée du restau japonais), Sakura (petite-fille qui tient la cuisine), des jumeaux Toca et Taco (petits-fils livreurs au péril de leur vie) mais aussi de Baca (le papa qui arpente les égouts à la recherche de nourriture), Neko (le chat porte-bonheur, standardiste et comptable à ses heures) et de Flora (la mère mais chut, je ne vous en dit pas trop sur elle !).
Budget : 8.95 euros le volume
- Avantages :
- Humour : et oui, c’est la 1ère chose à retenir : tout y est drôle, parfois même corrosif ! Enfants et parents prendront plaisir à lire cette BD à l’humour décalé
- Dessins : ronds, colorés et très réussis, ils participent grandement au plaisir de lire. De plus, il sont suffisamment gros pour que l’on puisse apprécier l’ensemble des détails d’une scène et des personnages (certaines pages ne contiennent même qu’un seul dessin)
- Protagonistes : chacun a son trait de caractère propre (la râleuse radine, le simplet, le maladroit …). Ils sont tous attachants, loufoques et l’on prend plaisir à suivre leurs aventures
- BD : le format est idéal et contribue à une prise en main facile, la couverture est souple et colorée et les feuilles sont épaisses et de bonne qualité
- Inconvénients :
- Suite : sniff, 2 volumes, c’est un peu court …
Conclusion :Des livres courts mais efficaces ! Fiston les a dévoré et même Papa s’y est mis et a adoré ! De mon côté, même si je ne suis pas très portée sur les BD, j’ai bien aimé. Comme dans la série « Adèle », on y retrouve de beaux dessins et de l’humour incisif mais sans le côté réellement méchant.
On aurait aimé une suite afin de pouvoir savoir comment nos héros pourraient continuer leur business alors qu’une pizzéria vient de s’ouvrir à proximité. Dommage …